
La formation de référence pour devenir Customer Success

“ J’ai pu structurer mes compétences, reprendre confiance en moi pour les entretiens et surtout, décrocher un job ! Si vous cherchez une formation sérieuse, humaine et tournée vers l’action, Kare est une vraie pépite !! ”
Julia Fania
Account Manager chez Le Cercle des Langues
Si c’est fluide, le score du CES est bas (c’est bien) ; si ça coince, le score monte et ton client s’épuise. En tant que CSM, ton rôle est de repérer ces frictions, de les réduire, puis de vérifier que l’effort perçu baisse vraiment au fil du temps.
Le CES mesure l’effort perçu par un client juste après une action précise :
On lui pose une question courte, il répond sur une échelle (1–5 ou 1–7), et tu suis l’évolution moyenne dans le temps 📝.
Ce n’est pas un ressenti “général” sur la marque. C’est un thermomètre ultra ciblé sur une tâche du parcours. Tu peux donc :
En tant que futur CSM, tu utilises le NPS et le CSAT, mais le CES est celui qui te dit “où ça coince maintenant” pour agir vite ✨.
Exemples concrets :

Tu as un objectif simple : réduire l’effort perçu, donc les frictions. Concrètement, le CES t’aide à prioriser où agir d’abord, à objectiver un irritant, puis à prouver l’impact de tes actions sur l’expérience.
Sur le terrain, tu vas t’en servir pour :
Le CES te sert aussi à parler le même langage que tes équipes. Tu arrives en réunion avec un top 3 des frictions, des verbatims réels, un avant/après et une recommandation d’action. Tu facilites l’arbitrage, tu gagnes du temps, tu crées un rituel d’amélioration continue avec le support, le produit et la data 💪🏻.
Et côté pilotage business, le CES alimente tes segments cibles et tes priorités de stratégie marketing :
Ce sont des phrases très courtes que tu poses juste après l’action réalisée. Une tâche précise. Une question simple. Une échelle claire. Puis un petit champ libre pour comprendre la cause de l’effort 💡.
→ Formule-la comme une affirmation neutre : “J’ai pu réaliser [tâche] facilement”. Propose une échelle de 1 à 7, avec 1 = pas du tout et 7 = tout à fait.
→ Tu peux aussi poser la question directement : “Combien d'efforts as-tu dû fournir pour [tâche] ?”. Dans ce cas, une échelle 1 à 5 suffit, de très faible à très fort 📏.
Nomme toujours la tâche de façon concrète :
Reste neutre pour ne pas orienter la réponse. Envoie la question immédiatement dans l’app ou par un email très court, pendant que le souvenir est frais pour le client.
Garde le format minimal :
Évite les formulations vagues qui mélangent plusieurs moments du parcours. Reste sur 5 ou 7 points pour que la lecture et la comparaison restent simples 🙂.

Le bon moment, c’est à chaud. Pose ta question juste après l’action, tant que le client a encore la scène en tête. Pas deux jours plus tard. Pas après un long questionnaire. Tu veux capter l’effort réel, pas un souvenir flou.
Concentre-toi sur les instants où l’effort peut grimper :
Ce sont des micro-moments parfaits pour mesurer sans déranger.
Varie les canaux selon la situation :
L’idée n’est pas d’interroger partout, tout le temps, mais au point le plus proche de l’action.
Garde un rythme raisonnable. Évite d’interroger la même personne à répétition. Par exemple : pas plus d’un CES par utilisateur sur 14 jours, et uniquement sur des actions clés. Tu limites la fatigue, tu augmentes la qualité des réponses.
Ajuste les déclencheurs avec des événements précis (ticket résolu, paiement réussi/échoué, activation terminée/abandonnée). Tu pourras comparer “succès” vs “échec” et repérer la friction exacte.
Ensuite, tu testes un correctif, tu remesures, et tu vois l’effet en direct.
Le Customer effort score se calcule simplement. Tu additionnes toutes les notes reçues, puis tu divises par le nombre de réponses. Si tu utilises une échelle 1–7, reste dessus dans le temps pour pouvoir comparer plus facilement.
Par exemple, tu envoies la question juste après un ticket clos. Tu récoltes 100 réponses sur une semaine. Le total des notes est de 450. 450 ÷ 100 = 4,5. Sur 1–7, 4,5 veut dire “moyen” : l’effort n’est pas catastrophique, mais il n’est pas confortable non plus.
Ce score ne vit pas seul. Regarde qui a répondu, à quel moment, et sur quelle tâche. Segmente entre nouveaux clients et comptes installés. Compare “succès” vs “échec” d’une action (paiement validé vs refusé, activation faite vs abandonnée). Tu repèreras vite les points qui tirent le score vers le bas.
Évite 2 pièges classiques :
Enfin, lis toujours les verbatims à côté du score. Le chiffre te dit “il y a un effort”, le commentaire te dit “où” et “pourquoi”. C’est là que tu vas trouver tes gains potentiels les plus rapides.
Ton objectif n’est pas “d’avoir un score”. Ton objectif est de faire baisser l’effort là où il gêne le plus 👇!
Commence par afficher la question au bon endroit, avec un champ libre. Lis chaque verbatim. Tague-les toujours avec les mêmes étiquettes simples : “paiement”, “connexion”, “onboarding”, “délai”, “information introuvable”. En fin de semaine, tu obtiens un top 3 des frictions qui font grimper le Customer effort score ✅.
Priorise sans te perdre : impact × volume × faisabilité. Si tu peux agir côté support, livre vite (macro, modèle de réponse, lien direct vers la facture, checklist d’escalade). Si c’est côté produit, monte un ticket clair avec preuves : captures, verbatims, chiffres avant/après. Tu passes de “j’ai l’impression que…” à “voilà le blocage et son coût”.
Teste des petits correctifs, un par un. Change un libellé ambigu. Ajoute un message d’erreur utile. Préremplis un champ. Mets le bon tutoriel à l’écran où l’utilisateur bloque. Propose un moyen de paiement de secours quand la carte échoue. Puis remesure le CES au même endroit, sur la même échelle. Si ça baisse et que les verbatims cessent de mentionner la même douleur, tu as gagné 🙂.
Ritualise. Chaque semaine, 30 minutes suffisent :
Même trame, toutes les semaines. Tu crées une dynamique d’amélioration continue avec le support, le produit et la data 👍.
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